Prospection « Castor » : Samedi 2 février 2019

La première sortie « Castor » de la saison, le long de l’Ill a enthousiasmé les participants, tant les indices de présence étaient abondants.
Ci-après l’invitation de Jean-Claude Jacob pour de nouvelles recherches sur la Largue, samedi prochain 2 février. 

Il vous est proposé de prospecter les bords de la Largue entre Spechbach le bas (pont) et Saint Bernard (pont amont).
Ce tronçon de la Largue n’a plus été prospecté depuis 2010  et ne présentait que peu d’indices de présence.
Cette sortie prolongera celle effectuée en mars 2018 vers l’aval jusqu’à la confluence avec l’Ill à Illfurth et qui nous avait permis de noter un accroissement des activités du Biber/Bièvre, qui s’est même installé sur le Krebsbach.
Rendez-vous : Samedi 2 février  à 14h devant l’église de Saint Bernard 68. Bottes conseillées.
A bientôt,
Jean-Claude JACOB


Reiningue 2019-01-20

Samedi 9 février : Sortie oiseaux hivernants

guidée par Edmond Herold

Rendez-vous :
9h Parking Intersport / Carrefour Île Napoléon
10h Parking Office du tourisme / Rhinau (67)
Équipement Habits chauds, casse-croûte et boissons tirés du sac
Jumelles, longues-vues, guides d’identification
En cas de météo défavorable (routes verglacées), consulter votre messagerie la veille à partir de 20h
Option de repli :
Coulée Verte de l’Ill / Mulhouse. RV : 9h Maison des Berges / Pont Chinois / Mulhouse

9h Parking Intersport / Carrefour Île Napoléon
10h Parking Office du tourisme / Rhinau (67)
Équipement Habits chauds, casse-croûte et boissons tirés du sac
Jumelles, longues-vues, guides d’identification
En cas de météo défavorable (routes verglacées), consulter votre messagerie la veille à partir de 20h
Option de repli : Coulée Verte de l’Ill / Mulhouse. RV : 9h Maison des Berges / Pont Chinois / Mulhouse

Conférence 18 janvier

Les carottes sauvages en France

par Jean-Pierre Reduron

Vendredi 18 janvier à 20h à la SIM, 12 rue de la Bourse à Mullhouse

La rédaction de la monographie pluridisciplinaire Ombellifères de France a permis la mise en évidence d’espèces dont la connaissance est particulièrement difficile à organiser. Cela provient de variations multiples au sein de l’espèce dont les contours et les origines sont compliqués à appréhender. Il est cohérent de les dénommer « complexes spécifiques ». La suite de ce travail s’adresse logiquement à une tentative d’élucidation -ou du moins de progrès dans la compréhension- de tels groupes. L’un des cas les plus frappants dans la flore française est celui des carottes
sauvages appartenant au complexe Daucus carota . Seront évoquées les méthodes complémentaires pour y parvenir, les principaux résultats et aussi quelles applications pratiques en découlent (utilisations, conservation, apports scientifiques…).